C’est une question délicate. pour ma part je suis proche de l’utilitarisme négatif, et la réduction de la souffrance est ma priorité éthique absolue.(mais sous une forme différente d’un utilitarisme négatif pur)
Mais je ne pense pas que ce soit un bon fondement éthique, pour qu’une forme de société soit stable ou puisse se répandre.
Je pense que cela serait contre-productif, de ne pas avoir quelque chose de plus nuancé.

Pour le moment, je dirais que la réduction de la souffrance est la priorité, tant que cela n’impacte pas trop la somme des bien-êtres, et que tout cela n’est pas parfaitement défini.